COMMENTAIRES ET COMPTES RENDUS
«Un magnifique petit bouquin qui ravira les amateurs de bizarreries et d’inventivités » (Christian Vachon, Librairie Pantoute, 21 octobre 2011).
«C’est un livre de fine fleur élégante où vous serez nettement plus intelligent en fin de lecture qu’à l’arrivée » (Culturehebdo.com, octobre 2011).
«L’essayiste divertit pour faire réfléchir » (Michel Lapierre, le Devoir, 12 novembre 2011, p. H4).
«a lu Écrire au pape et au Père Noël http://bit.ly/u7y1ZS par @benoitmelancon | en veut encore et espère d’autres cabinets de curiosités!» (bibliomancienne, sur Twitter, 20 novembre 2011).
«À l’ère de la communication instantanée, ces “curiosités” semblent porter un cachet nouveau. Êtes-vous allé à la malle, hier?» (Daniel Lemay, La Presse en ligne, 21 novembre 2011).
«Dans tous ces domaines, on le suit avec plaisir […]» (Philippe Didion, Notules dominicales de culture domestique, 27 novembre 2011).
«Agréable lecture qui donne le goût de se remettre à la lettre » (AmelieGaudreau, sur Twitter, 28 novembre 2011).
«Tout en étant un livre grand public – sans notes de bas de page, imaginez! –, Écrire au pape et au Père Noël contient une réflexion originale sur cette forme de communication. […] En tout cas, son “cabinet de curiosités épistolaires” regorge de trésors qu’il a patiemment déterrés pour nous en consultant autant Hergé que Diderot» (Mathieu-Robert Sauvé, Forum, Université de Montréal, 28 novembre 2011).
«Le résultat est une célébration de l’intelligence et de l’érudition, des bonheurs d’écriture, des histoires surprenantes qui raviront les amateurs de bizarreries et d’inventivité» (Christian Vachon, le Libraire, hors série, décembre 2011, p. 30).
«Je me suis délectée à la lecture de votre ouvrage comme un enfant qui découvre les surprises et les friandises cachées dans son bas le jour de Noël» (Marie D. Martel, blogue Bibliomancienne, 23 décembre 2011).
«Un des chapitres les plus étoffés porte sur les procédés de communication dans les albums Tintin. En tintinologue averti, Melançon recense les divers albums où il est question de lettres, de télégrammes ou de billets, tout en soulignant qu’on ne trouve nulle part trace de carte postale, ce qui est une absence pour le moins curieuse chez un artiste visuel. […] D’autres textes portent sur la place de la lettre dans la chanson, sur le pourriel, les chaînes de lettres, les lettres d’outre-tombe, etc. L’ouvrage est entrelardé de citations judicieusement choisies et se termine par quelques pages sur l’imaginaire épistolaire» (Christian Vandendorpe, @nalyses. Revue de critique et de théorie littéraire, 2012).
«Rédigé avec un mélange bien équilibré d’érudition et d’éclectisme, ce Cabinet de curiosités, fidèle à son nom, offre aux lecteurs un panorama des formes multiples et hétéroclites sous lesquelles se présentent les correspondances» (Ben Huberman, Canadian Literature, 19 juin 2012).
«Benoît Melançon entremêle les références érudites, ordinaires et populaires dans un style qui nous entraîne, tambour battant, de découvertes en redécouvertes, et de surprises en surprises» (Sonia Anton, Épistolaire, 38, 2012, p. 277).