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ÉCRIRE AU PAPE ET AU PÈRE NOËL – Benoît Melançon

Publié le 1 janvier 2014

COMMENTAIRES ET COMPTES RENDUS

«Un magni­fique petit bou­quin qui ravi­ra les ama­teurs de bizar­re­ries et d’inventivités » (Chris­tian Vachon, Librai­rie Pan­toute, 21 octobre 2011).

 

«C’est un livre de fine fleur élé­gante où vous serez net­te­ment plus intel­li­gent en fin de lec­ture qu’à l’arrivée » (Culturehebdo.com, octobre 2011).

 

«L’essayiste diver­tit pour faire réflé­chir » (Michel Lapierre, le Devoir, 12 novembre 2011, p. H4).

 

«a lu Écrire au pape et au Père Noël http://bit.ly/u7y1ZS par @benoitmelancon | en veut encore et espère d’autres cabi­nets de curio­si­tés!» (biblio­man­cienne, sur Twit­ter, 20 novembre 2011).

 

«À l’ère de la com­mu­ni­ca­tion ins­tan­ta­née, ces “curio­si­tés” semblent por­ter un cachet nou­veau. Êtes-vous allé à la malle, hier?» (Daniel Lemay, La Presse en ligne, 21 novembre 2011).

 

«Dans tous ces domaines, on le suit avec plai­sir […]» (Phi­lippe Didion, Notules domi­ni­cales de culture domes­tique, 27 novembre 2011).

 

«Agréable lec­ture qui donne le goût de se remettre à la lettre » (Ame­lie­Gau­dreau, sur Twit­ter, 28 novembre 2011).

 

«Tout en étant un livre grand public – sans notes de bas de page, ima­gi­nez! –, Écrire au pape et au Père Noël contient une réflexion ori­gi­nale sur cette forme de com­mu­ni­ca­tion. […] En tout cas, son “cabi­net de curio­si­tés épis­to­laires” regorge de tré­sors qu’il a patiem­ment déter­rés pour nous en consul­tant autant Her­gé que Dide­rot» (Mathieu-Robert Sau­vé, Forum, Uni­ver­si­té de Mont­réal, 28 novembre 2011).

 

«Le résul­tat est une célé­bra­tion de l’intelligence et de l’érudition, des bon­heurs d’écriture, des his­toires sur­pre­nantes qui ravi­ront les ama­teurs de bizar­re­ries et d’inventivité» (Chris­tian Vachon, le Libraire, hors série, décembre 2011, p. 30).

 

«Je me suis délec­tée à la lec­ture de votre ouvrage comme un enfant qui découvre les sur­prises et les frian­dises cachées dans son bas le jour de Noël» (Marie D. Mar­tel, blogue Biblio­man­cienne, 23 décembre 2011).

 

«Un des cha­pitres les plus étof­fés porte sur les pro­cé­dés de com­mu­ni­ca­tion dans les albums Tin­tin. En tin­ti­no­logue aver­ti, Melan­çon recense les divers albums où il est ques­tion de lettres, de télé­grammes ou de billets, tout en sou­li­gnant qu’on ne trouve nulle part trace de carte pos­tale, ce qui est une absence pour le moins curieuse chez un artiste visuel. […] D’autres textes portent sur la place de la lettre dans la chan­son, sur le pour­riel, les chaînes de lettres, les lettres d’outre-tombe, etc. L’ouvrage est entre­lar­dé de cita­tions judi­cieu­se­ment choi­sies et se ter­mine par quelques pages sur l’imaginaire épis­to­laire» (Chris­tian Van­den­dorpe, @nalyses. Revue de cri­tique et de théo­rie lit­té­raire, 2012).

 

«Rédi­gé avec un mélange bien équi­li­bré d’érudition et d’éclectisme, ce Cabi­net de curio­si­tés, fidèle à son nom, offre aux lec­teurs un pano­ra­ma des formes mul­tiples et hété­ro­clites sous les­quelles se pré­sentent les cor­res­pon­dances» (Ben Huber­man, Cana­dian Lite­ra­ture, 19 juin 2012).

 

«Benoît Melan­çon entre­mêle les réfé­rences éru­dites, ordi­naires et popu­laires dans un style qui nous entraîne, tam­bour bat­tant, de décou­vertes en redé­cou­vertes, et de sur­prises en sur­prises» (Sonia Anton, Épis­to­laire, 38, 2012, p. 277).