«La géographie que je cultive est en fait une biographie, une “géo-autobiographie” devrais-je dire, dans laquelle je me dévoile tout en dévoilant les lieux et phénomènes qui ont un sens pour moi. Il en va ainsi de cette forme de résonance qu’évoque la géographie. C’est à la mesure de mon vécu, de mes connaissances, de ma sensibilité et de mes trous de mémoire que le monde se révèle à moi et que je me révèle à lui.»