Il avait prévu ne jamais en parler. Mais voilà qu’il raconte tout à Adèle.
Commence alors un jeu de piste dans les méandres de la mémoire et de l’amour.
«L’homme prétendait avoir perdu son chat. L’homme désespérait de le retrouver.
Il avait besoin de moi. Il me décrivait l’animal noir taché de blanc pour me permettre
de le reconnaître si je le voyais. Mais il s’en foutait de plus en plus.
Au cœur du boisé, son chat a cessé d’exister.»